Intelligence Economique, Outils Veille, Trucs et Astuces
S’inscrire à des newsletters étrangères ou obtenir des renseignements stratégiques sur des sites étrangers présente souvent de nombreux problèmes. Ces derniers n’acceptent généralement pas d’ internautes provenant d’autres pays puisque les renseignements promulgués sont normalement destinés au marché domestique. Ces sites web demandent donc de nombreux renseignements pour vérifier que vous êtes bien un internaute du pays.
Afin de contourner ces petites gènes lorsque l’on souhaite accéder aux informations publiées sur ce type de site, il est nécessaire de mettre en place de nombreuses et lourdes techniques afin de contourner ces protections. L’idée est de se faire passer pour un habitant du pays fonction de la localité où est hébergé le site, étant par exemple en voyage d’affaire et logé dans un hôtel. Il faudra donc fournir le numéro de l’hôtel, etc.
Pour éviter ce type de manipulation, un site, Fake Name Generator, vous permet de renseigner aisément une fausse identité dans un pays au choix (Américain, Chinois, Danois, Anglais, Finlandais, Français, Allemand, Espagnol, Hongrois, Italien, Japonais ou encore Suédois). Les informations générées par le site semblent très pertinentes, et surtout sont pour le moins complètes. Il est possible de croiser 3 types de données : le genre, la nationalité et le pays de résidence. Ensuite, le site va vous proposer une fausse identité à partir de ces 3 critères.
L’idée est très bonne et les informations personnelles qui en découlent sont pertinentes et complètes. On y trouve : nom, prénom, adresse, mail, numéro de téléphone, nom de jeune fille de la mère, date de naissance et même numéro de carte visa et sa date d’expiration.Bien entendu, quelques erreurs sont présentes, comme par exemple dans les numéros de téléphone (testé pour les français, où le 2ème nombre n’est pas toujours correct). Mais la plupart des sites ne vont pas aussi loin et cet outil suffit souvent à contourner les protections de ces sites.
En revanche, certain sites ne vous autoriseront toujours pas à accéder à leur contenu car votre adresse IP est française. De même, il est possible de passer outre cette interdiction. Il faut pour cela un peu mettre les mains dans le cambouis, mais le résultat marche très bien.
L’idée est donc de passer par un proxy dans le but de faire croire aux sites déterminés que nous sommes résidents sur le sol US. Grâce à Firefox 2 et son plugin Foxy Proxy, ceci est tout à fait possible. La manipulation s’effectue en 3 points :1 – Récupérer les adresses de proxy US (par exemple sur ce site) et les valider (sur celui-ci)2 – Configurer le proxy3 – Se régler sur les fuseaux américains.Et le tour est joué ! Il est certain que cette manipulation est difficile à mettre en place, mais, avec un peu de patience, il est tout à fait possible de la réaliser.
Cette méthode, appliquée à la recherche d’information et à la veille, permet d’accéder à des contenus uniquement réservés aux internautes domestiques ce qui peut s’avérer très intéressant sur des contenus stratégiques protégés.
Bon surf !
lundi 10 mars 2008
mardi 5 février 2008
AU SECOURS !!! La nouvelle vague des subprimes arrive !!..
Le 1er février 2008 (Nouvelle Solidarité) -- La tempête des subprime ne fait que commencer. Elle va même s'amplifier puisque l'agence de notation Standard & Poor's vient d'abaisser ses notations portant sur 534 milliards de dollars d'obligations adossées à des créances douteuses ! Les dégâts se chiffreront à 265 milliards de dollars, soit 1,7 fois plus que les montants déjà annoncées par les plus grandes banques depuis fin juillet 2007.
Cette deuxième vague de pertes frappera surtout des institutions plus petites aux Etats-Unis, en Europe et en Asie. Il s'agirait des banques régionales et caisses d'épargne qui jusqu'à présent n'avaient pas eu à refléter la chute de la valeur de leurs titres douteux, car elles comptaient les conserver jusqu'à maturité et se voient aujourd'hui, par les règles comptables, forcées de révéler leur vraie situation.
Mais ce n'est pas tout. Il faut savoir que 2 400 milliards de dollars d'obligations douteuses ont été assurées par des rehausseurs de crédit comme Ambac, MBIA et autre « monoliners » qui assurent contre les défaillances. Or la vague de défauts de paiement de la part des emprunteurs est en train de saigner à blanc ces assureurs. Les pertes de ces derniers se répercuteront à leur tour sur l'activité des banques.
Inutile donc de s'accrocher à ce bateau qui coule ! Une politique triple constituée de portes coupe-feu protégeant la population contre la chute du pouvoir d'achat, soutenue par une relance fondée sur la mise en place de taux d'intérêt à deux vitesses, ainsi qu'à une réorganisation en profondeur de l'ensemble du système financier, voilà ce qui nous sortirait d'affaire.
Cette deuxième vague de pertes frappera surtout des institutions plus petites aux Etats-Unis, en Europe et en Asie. Il s'agirait des banques régionales et caisses d'épargne qui jusqu'à présent n'avaient pas eu à refléter la chute de la valeur de leurs titres douteux, car elles comptaient les conserver jusqu'à maturité et se voient aujourd'hui, par les règles comptables, forcées de révéler leur vraie situation.
Mais ce n'est pas tout. Il faut savoir que 2 400 milliards de dollars d'obligations douteuses ont été assurées par des rehausseurs de crédit comme Ambac, MBIA et autre « monoliners » qui assurent contre les défaillances. Or la vague de défauts de paiement de la part des emprunteurs est en train de saigner à blanc ces assureurs. Les pertes de ces derniers se répercuteront à leur tour sur l'activité des banques.
Inutile donc de s'accrocher à ce bateau qui coule ! Une politique triple constituée de portes coupe-feu protégeant la population contre la chute du pouvoir d'achat, soutenue par une relance fondée sur la mise en place de taux d'intérêt à deux vitesses, ainsi qu'à une réorganisation en profondeur de l'ensemble du système financier, voilà ce qui nous sortirait d'affaire.
lundi 7 janvier 2008
2008 !!!.. : WEB 2 . X
La grande question que tout le monde se pose pour 2008 c’est de savoir ce qu’il adviendra du fameux web 2.0, tant décrié à sa naissance mais qui gambade allègrement dans sa quatrième année. La participation des utilisateurs s’accroît et les entreprises intéressées par ce marché se multiplient.
Tendance forte, nous faisons de plus en plus de choses dans les nuages, insensiblement, presque sans nous en rendre compte à mesure que les fonctionnalités y deviennent d’usage plus facile. Cela va des courriels gérés depuis le web comme Gmail aux documents gardés “dans les nuages” et auxquels on peut accéder de n’importe où, comme avec Box.net ou sur lesquels on peut travailler à distance comme avec Zoho.com , ThinkFre.com ou les Google Docs.
En termes économiques cela veut dire qu’on se rapproche de l’arrivée à maturité, quand trop de sociétés occupent l’espace en question et qu’il faut procéder à un nettoyage au terme duquel seules les plus “saines” (fit) survivent. Une phase nécessaire et attendue.
Google domine encore, mais “Google va suer” face à la menace de Facebook prévoit Josh Catone de Read/WriteWeb . Mark Zuckerberg, le fondateur, est né après l’internet et il avait neuf ans quand Marc Andreessen a lancé son premier navigateur visuel créant ainsi le web. “Il pense différemment” souligne la fameuse analyste Mary Meeker de Morgan Stanley, “et nous pensons que c’est une bonne chose”. C’est une source potentielle d’innovations.
Mais les utilisateurs risquent de se fatiguer de la multiplicité d’offres incompatibles et centralisées comme MySpace ou Facebook. On devrait voir une demande de réseaux sociaux distribués du genre Ning.com et de systèmes permettant de naviguer de l’un à l’autre, c’est-à-dire des plateformes plutôt que des destinations comme le propose MyLifeBrand.com .
Le web 3.0 est encore loin et ne se matérialisera peut-être jamais. Mais le web 2.0 poursuit sa mue. On ne sait pas encore ce qui marquera le point de rupture, mais on peu en repérer trois composantes: le web sémantique permet aux machines de mieux comprendre quoi faire avec les données que nous mettons en ligne. Les réseaux sociaux contribuent, selon David Weinberger , à ce que “la construction publique du sens soit le projet le plus important des prochains cent ans”. La mobilité toujours connectée joue un rôle croissant sur lequel je reviendrai demain.
Le cabinet d’analyse IDC définit cette maturité en mutation en disant que nous entrons dans une phase “Post-disruption”. Les grands changements technologiques et sociaux ont maintenant été introduits. Il nous reste à digérer le processus. “Nous assisterons à la apparition de logiciels permettant de dompter la ‘cacophonie des multitudes’.”
Tendance forte, nous faisons de plus en plus de choses dans les nuages, insensiblement, presque sans nous en rendre compte à mesure que les fonctionnalités y deviennent d’usage plus facile. Cela va des courriels gérés depuis le web comme Gmail aux documents gardés “dans les nuages” et auxquels on peut accéder de n’importe où, comme avec Box.net ou sur lesquels on peut travailler à distance comme avec Zoho.com , ThinkFre.com ou les Google Docs.
En termes économiques cela veut dire qu’on se rapproche de l’arrivée à maturité, quand trop de sociétés occupent l’espace en question et qu’il faut procéder à un nettoyage au terme duquel seules les plus “saines” (fit) survivent. Une phase nécessaire et attendue.
Google domine encore, mais “Google va suer” face à la menace de Facebook prévoit Josh Catone de Read/WriteWeb . Mark Zuckerberg, le fondateur, est né après l’internet et il avait neuf ans quand Marc Andreessen a lancé son premier navigateur visuel créant ainsi le web. “Il pense différemment” souligne la fameuse analyste Mary Meeker de Morgan Stanley, “et nous pensons que c’est une bonne chose”. C’est une source potentielle d’innovations.
Mais les utilisateurs risquent de se fatiguer de la multiplicité d’offres incompatibles et centralisées comme MySpace ou Facebook. On devrait voir une demande de réseaux sociaux distribués du genre Ning.com et de systèmes permettant de naviguer de l’un à l’autre, c’est-à-dire des plateformes plutôt que des destinations comme le propose MyLifeBrand.com .
Le web 3.0 est encore loin et ne se matérialisera peut-être jamais. Mais le web 2.0 poursuit sa mue. On ne sait pas encore ce qui marquera le point de rupture, mais on peu en repérer trois composantes: le web sémantique permet aux machines de mieux comprendre quoi faire avec les données que nous mettons en ligne. Les réseaux sociaux contribuent, selon David Weinberger , à ce que “la construction publique du sens soit le projet le plus important des prochains cent ans”. La mobilité toujours connectée joue un rôle croissant sur lequel je reviendrai demain.
Le cabinet d’analyse IDC définit cette maturité en mutation en disant que nous entrons dans une phase “Post-disruption”. Les grands changements technologiques et sociaux ont maintenant été introduits. Il nous reste à digérer le processus. “Nous assisterons à la apparition de logiciels permettant de dompter la ‘cacophonie des multitudes’.”
mardi 27 novembre 2007
COMPASS, un blogue pour annonceurs et acheteurs médias
Transcontinental lance Compas, un nouveau blogue professionnel destiné aux annonceurs et acheteurs médias. Ce blogue permettra aux professionnels de rapidement trouver de l’information sur l’offre Internet de Transcontinental. Compas est à la fois un blogue et un bulletin électronique. À vous de choisir de quelle façon vous désirez accéder à cette information.
Compas viendra donc appuyer l’offre publicitaire Internet de Transcontinental qui s’est élargie en septembre dernier avec l’arrivée de la régie publicitaire des blogueurs d’affaires. L’intérêt de Transcontinental et de plusieurs autres éditeurs envers la publicité sur Internet démontre bien le mouvement en ce sens qui s’est engagé depuis quelques mois.
Compas viendra donc appuyer l’offre publicitaire Internet de Transcontinental qui s’est élargie en septembre dernier avec l’arrivée de la régie publicitaire des blogueurs d’affaires. L’intérêt de Transcontinental et de plusieurs autres éditeurs envers la publicité sur Internet démontre bien le mouvement en ce sens qui s’est engagé depuis quelques mois.
samedi 1 septembre 2007
MASHUP NEWS
[Banque, assurance] Internet réinvente la monnaie
Le 31 août 2007 Les échanges de fichiers pourraient devenir une monnaie d’échange. Ils rejoignent ainsi les permis de polluer, les blessures au combat virtuel et les autres innovations en terme de concepts monnayables...
[Recherche] Les réseaux peer to peer créent la monnaie de demain
Le 30 août 2007 Les systèmes de paire à paire consomment de la bande passante et mettent à contribution les machines de leurs utilisateurs. Monétiser ces échanges pourrait faire naître un nouveau type de commerce électronique...
[Télécoms, FAI] L’accès Internet par satellite a un avenir grand public
Le 31 août 2007 Eutelsat lance un service d’accès à internet pour le grand public baptisé Tooway. Comme son nom l’indique, ce service permet de recevoir et d’envoyer des données via les satellites de l’opérateur...
[Sécurité] L’espionnage utilise tous les réseaux
Le 30 août 2007 Wireless CCTV commercialise un nouveau système de contrôle de caméras et de micros à distance. Celui-ci transmet les données sur réseau filaire haut-débit, WiFi et GSM...
Le 31 août 2007 Les échanges de fichiers pourraient devenir une monnaie d’échange. Ils rejoignent ainsi les permis de polluer, les blessures au combat virtuel et les autres innovations en terme de concepts monnayables...
[Recherche] Les réseaux peer to peer créent la monnaie de demain
Le 30 août 2007 Les systèmes de paire à paire consomment de la bande passante et mettent à contribution les machines de leurs utilisateurs. Monétiser ces échanges pourrait faire naître un nouveau type de commerce électronique...
[Télécoms, FAI] L’accès Internet par satellite a un avenir grand public
Le 31 août 2007 Eutelsat lance un service d’accès à internet pour le grand public baptisé Tooway. Comme son nom l’indique, ce service permet de recevoir et d’envoyer des données via les satellites de l’opérateur...
[Sécurité] L’espionnage utilise tous les réseaux
Le 30 août 2007 Wireless CCTV commercialise un nouveau système de contrôle de caméras et de micros à distance. Celui-ci transmet les données sur réseau filaire haut-débit, WiFi et GSM...
PROSPECTION EN ESPAGNOL ( TELEMARKETING ET E-MARKETING EN ESPAGNOL )
MULTIPLIEZ VOS OPPORTUNITES
COMMERCIALES SUR L'IMMENSITE
DES MARCHES ESPAGNOL D'ESPAGNE
ET D'AMERIQUE LATINE GRACE AU
TELEMARKETING ET E-MARKETING
TECHNIQUES DE CONTACTS COMMERCIAUX
AUX RESULTATS RAPIDES ET SIGNIFICATIFS
MAIS ATTENTION !!! mener des actions de téléprospection ou de e-prospecton via le web
ne s'improvise pas ........
* Confiez-nous vos pretations et demandez-nous un devis en précisant la nature de votre projet
pour informations
e-mail : " offshorebusinesssauvanet@gmail.com "
mercredi 29 août 2007
OFFSHOREBUSINESS SAUVANET Int'l GIBRALTAR
Offshorebusiness SAUVANET Int'l GIBRALTAR
I am ready working for You within as consultant in e-Business & e-Marketing Development and as indépendant engineeringand business consultant in Europe, north Africa, Middle East, or South América.
Offshore Company Formation & incorporation , Ships & Aircrafts registration ,
Industry technology transfer ,Maritime, Aviation, Industry, Ships, Aircraft , Shipping, construction equipments, logistic, joint-ventures, Mergers, Leasing, Financing etc......Analysis of geo/politic/économical situations in defined markets & researchTactical Business
Consulting Delocalisation & Relocation .
FINANCING till 500 000 000.00 US$ against LC,CD& US or European Bank Guarantiees
ONLY FAX INQUIRIES PLS Fax :0033 14 727 0806
Recently we have streamlined our ship or aircraft financing process.
We can finance ships or aircrafts by way of Letter of Credit.Based on the income generated through their Companies,we will fund up to 85% of the amount on the Letter of Credit which can then use to finance hers Ships or Aircraft.Rate will be at libor + 3.5% + 6%lender fee.
ONLY FAX INQUIRIES PLS.FAX:0033 14 727 08 06
e-mail : offshorebusinesssauvanet@gmail.com JUST ONE CLICK !!! e-mail me for more Infos
" offshorebusinesssauvanet@gmail.com "
1°We are not Broker Company,It's mean that we are working only direct with Customers (Sellers,Buyers or Owners).
2°Working only on the base of written LOI/LOC which is usually signed in our direct Customer Office.(If you are Broker-Your comission is namely mentioned in this contract and your right payment,after succesfull deal closing is certified.)
3°ALL expences belong to the business trips as above mentioned in point 2 & min: 2000 Euros
in cash as consulting-have to be prepaid bu Customer & all these expences will be delater from comission due after closed business .
Thank you for your once more for interest and we are looking for your soon (fax with your Company headletter/full style)
* replyIMPORTANT:We are pleased to communicate with you via e-mail for Opérational messages.However,we advise you that we do not regognize e-mail as binding instrument having any legal effect.
SEND YOURS LETTERS TO:
Mike SAUVANET " Offshorebusiness "
c/o"PAL"
31 rue de Lubeck
75016 PARIS FRANCE
FAX : 0033 147 27 08 06
* I am looking worlwide for international contacts to expand our red
for: engineering/trading /consulting : " offshorebusinesssauvanet@gmail.com "
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2°Working only on the base of written LOI/LOC which is usually signed in our direct Customer Office.(If you are Broker-Your comission is namely mentioned in this contract and your right payment,after succesfull deal closing is certified.)
3°ALL expences belong to the business trips as above mentioned in point 2 & min: 2000 Euros
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SECRET DEFONCE.. LA BATAILLE EST ENGAGEE : LE " WIKISCANNER "
Adepte de la "TRANSPARENCE " le ministére de l'économie et des finances ôte un paragraphe
sur l'appartement de fonction de Jean François Copé ex-ministre du budjet
Le Wikiscanner fait des vagues. Ce logiciel, capable d'identifier les contributeurs de l'encyclopédie en ligne Wikipédia, a été conçu par un étudiant américain. Et désormais tous les internautes peuvent en profiter. Qui donc ajoute, modifie et soustrait des informations sur le site ? La divulgation de certains auteurs a révélé quelques surprises…
Souvenez-vous. A l’occasion du débat qui a opposé les candidats à la présidentielle Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal, un jeu de yo-yo avait pris place sur l’encyclopédie en ligne Wikipédia concernant la polémique sur le réacteur nucléaire de… troisième ou quatrième génération. Tout au long de la soirée, le texte a été matraqué à coup de modifications et de mises à jour par des internautes désireux de favoriser l’un ou l’autre candidat. La polémique est lancée.
Déjà fortement critiqué sur la pertinence de ses informations, je rappelle que le site est uniquement alimenté par les internautes, Wikipédia se trouve une seconde fois mis à mal. Et la dérive fait froid dans le dos. Certaines définitions du site ne seraient que de propagandes et publicités mensongères mises en ligne par des manipulateurs. Et quels manipulateurs ! Monsieur X peut aller se coucher, là c’est du lourd. Je parle du Vatican, de l’ONU et de la CIA. Je parle d’entreprises, de groupes influents et de personnalités politiques... Et c’est là qu’entre en scène le Wikiscanner. Le nouveau joujou des internautes qui, depuis le 13 août, peuvent vérifier les entrées faites sur le contenu de l’encyclopédie en ligne et démasquer ces manipulateurs en un clic...
EN VOICI QUELQUES EXEMPLES:
-Un ordinateur de la BBC a été utilisé pour modifier la cause des palpitations cardiaques de l’ex-Premier ministre britannique Tony Blair. Au lieu de café et d’exercices gymnastiques, on pouvait lire abus de vodka et de sport en chambre.
-L’Eglise de Scientologie aurait modifié l’article qui relate ses activités et celui sur l’un de ses membres, Tom Cruise. Elle aurait également ajouté des liens peu flatteurs sur l’association américaine de psychiatrie qui lui est hostile.
-Des membres de l'équipe du Premier ministre australien John Howard sont intervenus pour y modifier des contenus jugés peu valorisants.
-Le Vatican a cherché à supprimer une allusion à une affaire malaisée concernant Gerry Adams, le leader du mouvement catholique en Irlande du Nord.
LA FRANCE N'EST PAS EPARGNEE…
- La Mairie de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) blanchit Patrick Balkany (UMP) condamné en 1996 pour prise illégale d'intérêts. Avec plus de 100 modifications concernant la ville et son maire, Levallois est l’organisme qui manipule le plus Wikipédia.
-La Mairie de Marseille (UMP) fait oublier les déboires électoraux de l'adjoint Renaud Muselier, ainsi que le soutien du FN au maire Jean-Claude Gaudin.
-Le ministère de l'Economie et des Finances ôte un paragraphe sur l’appartement de fonction de Jean-François Copé, ex-ministre du Budget.
300 MODIFICATIONS POUR LA CIA
A l’origine de ce "gadget" ? Un jeune homme américain, étudiant diplômé, pirate informatique, installé tranquillement chez lui, devant son écran d’ordinateur. Par le biais de l’adresse IP, Virgil Griffith a ainsi pu retrouver les auteurs des textes…des personnes parfois bien décidées à préserver leurs intérêts. En témoigne la découverte, qui a notamment fait naitre sa popularité, de 300 modifications effectuées par des ordinateurs de l’Agence centrale de renseignement américain (CIA) sur des sujets aussi variés que le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, la Marine argentine ou l’arsenal nucléaire chinois.
"J´ai eu l´idée quand j´ai entendu parler d´élus du Congrès qui avaient nettoyé les pages les concernant sur Wikipédia", a expliqué Griffith sur son site web. "En général, particulièrement pour les sujets non controversés, Wikipédia marche bien. Pour les sujets de controverse, Wikipédia pourrait être plus fiable au moyen de techniques permettant de contrer le vandalisme et la désinformation". Chapeau bas. Car si au fond cela ne change pas grand-chose à nos petites vies, il est assez jouissif de voir qu’un étudiant a réussi à tous les prendre la main dans le sac, non ?
sur l'appartement de fonction de Jean François Copé ex-ministre du budjet
Le Wikiscanner fait des vagues. Ce logiciel, capable d'identifier les contributeurs de l'encyclopédie en ligne Wikipédia, a été conçu par un étudiant américain. Et désormais tous les internautes peuvent en profiter. Qui donc ajoute, modifie et soustrait des informations sur le site ? La divulgation de certains auteurs a révélé quelques surprises…
Souvenez-vous. A l’occasion du débat qui a opposé les candidats à la présidentielle Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal, un jeu de yo-yo avait pris place sur l’encyclopédie en ligne Wikipédia concernant la polémique sur le réacteur nucléaire de… troisième ou quatrième génération. Tout au long de la soirée, le texte a été matraqué à coup de modifications et de mises à jour par des internautes désireux de favoriser l’un ou l’autre candidat. La polémique est lancée.
Déjà fortement critiqué sur la pertinence de ses informations, je rappelle que le site est uniquement alimenté par les internautes, Wikipédia se trouve une seconde fois mis à mal. Et la dérive fait froid dans le dos. Certaines définitions du site ne seraient que de propagandes et publicités mensongères mises en ligne par des manipulateurs. Et quels manipulateurs ! Monsieur X peut aller se coucher, là c’est du lourd. Je parle du Vatican, de l’ONU et de la CIA. Je parle d’entreprises, de groupes influents et de personnalités politiques... Et c’est là qu’entre en scène le Wikiscanner. Le nouveau joujou des internautes qui, depuis le 13 août, peuvent vérifier les entrées faites sur le contenu de l’encyclopédie en ligne et démasquer ces manipulateurs en un clic...
EN VOICI QUELQUES EXEMPLES:
-Un ordinateur de la BBC a été utilisé pour modifier la cause des palpitations cardiaques de l’ex-Premier ministre britannique Tony Blair. Au lieu de café et d’exercices gymnastiques, on pouvait lire abus de vodka et de sport en chambre.
-L’Eglise de Scientologie aurait modifié l’article qui relate ses activités et celui sur l’un de ses membres, Tom Cruise. Elle aurait également ajouté des liens peu flatteurs sur l’association américaine de psychiatrie qui lui est hostile.
-Des membres de l'équipe du Premier ministre australien John Howard sont intervenus pour y modifier des contenus jugés peu valorisants.
-Le Vatican a cherché à supprimer une allusion à une affaire malaisée concernant Gerry Adams, le leader du mouvement catholique en Irlande du Nord.
LA FRANCE N'EST PAS EPARGNEE…
- La Mairie de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) blanchit Patrick Balkany (UMP) condamné en 1996 pour prise illégale d'intérêts. Avec plus de 100 modifications concernant la ville et son maire, Levallois est l’organisme qui manipule le plus Wikipédia.
-La Mairie de Marseille (UMP) fait oublier les déboires électoraux de l'adjoint Renaud Muselier, ainsi que le soutien du FN au maire Jean-Claude Gaudin.
-Le ministère de l'Economie et des Finances ôte un paragraphe sur l’appartement de fonction de Jean-François Copé, ex-ministre du Budget.
300 MODIFICATIONS POUR LA CIA
A l’origine de ce "gadget" ? Un jeune homme américain, étudiant diplômé, pirate informatique, installé tranquillement chez lui, devant son écran d’ordinateur. Par le biais de l’adresse IP, Virgil Griffith a ainsi pu retrouver les auteurs des textes…des personnes parfois bien décidées à préserver leurs intérêts. En témoigne la découverte, qui a notamment fait naitre sa popularité, de 300 modifications effectuées par des ordinateurs de l’Agence centrale de renseignement américain (CIA) sur des sujets aussi variés que le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, la Marine argentine ou l’arsenal nucléaire chinois.
"J´ai eu l´idée quand j´ai entendu parler d´élus du Congrès qui avaient nettoyé les pages les concernant sur Wikipédia", a expliqué Griffith sur son site web. "En général, particulièrement pour les sujets non controversés, Wikipédia marche bien. Pour les sujets de controverse, Wikipédia pourrait être plus fiable au moyen de techniques permettant de contrer le vandalisme et la désinformation". Chapeau bas. Car si au fond cela ne change pas grand-chose à nos petites vies, il est assez jouissif de voir qu’un étudiant a réussi à tous les prendre la main dans le sac, non ?
ET AU ROYAUME UNIS ALORS ?
Une étude de l’IMRG montre que le commerce électronique a dépassé les 4 milliards de livres sterling durant le mois de juillet en Grande-Bretagne. Il s’agit là d’un nouveau record et d’une augmentation d’environ 80 % par rapport au mois de juillet 2006.
Ces chiffres, qui paraissaient improbable ont été vérifiés avant d’être publiés comme l’a indiqué Jo Evans, analyste pour l'IMGR. Au même moment, les ventes dans les magasins traditionnels n’ont augmenté que de 3,3% (chiffres de National Statistics) et représente 5 milliards de livres sur une semaine.
Le secteur de la vente est en pleine évolution et l’e-commerce joue un rôle essentiel dans cette mutation. Dorénavant, les grandes marques sont bien représentées sur Internet et ce sont elles qui dynamisent l’e-commerce.
Pour la petite annecdote, l'IMRG, les inondations que la Grande Bretagne a connu seraient les responsables de cette hausse, elles auraient semble t'il poussées les anglais à rester chez eux et à commander des articles de première nécessité via leur Internet favoris.
Ces chiffres, qui paraissaient improbable ont été vérifiés avant d’être publiés comme l’a indiqué Jo Evans, analyste pour l'IMGR. Au même moment, les ventes dans les magasins traditionnels n’ont augmenté que de 3,3% (chiffres de National Statistics) et représente 5 milliards de livres sur une semaine.
Le secteur de la vente est en pleine évolution et l’e-commerce joue un rôle essentiel dans cette mutation. Dorénavant, les grandes marques sont bien représentées sur Internet et ce sont elles qui dynamisent l’e-commerce.
Pour la petite annecdote, l'IMRG, les inondations que la Grande Bretagne a connu seraient les responsables de cette hausse, elles auraient semble t'il poussées les anglais à rester chez eux et à commander des articles de première nécessité via leur Internet favoris.
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